2007 թ, Նոյեմբերի 19                                                                         Affaires Intérieures

   2007 թ, Նոյեմբերի 16                                                                                    Affaires Intérieures                   

2007 թ, Նոյեմբերի 12                                                                                                          Affaires Intérieures

8 Նոյեմբերի,  2007                                                                                                                 Affaires Intérieures

Le 04 octobre , 2007                                                                              Affaires Intérieures

Selon lui, Robert Kocharian ne l'annonce pas, car il a peur de souffrir du même destin que Levon Ter-Petrosian.

Tomas de Val a souligné que les chefs des deux pays n'étaient pas innocents devant leurs peuples, et c'était la raison pour laquelle le règlement du conflit a traîné jusqu’à ce jour. Comme exemple il a mentionné le sujet du discours d'Ilham Aliyev à Londres, où Aliyev a promis l'autonomie la plus élevée au Karabagh, mais il ne ferait jamais l'annonce semblable à Bakou.

A. A.

UN ÉTAT CONTRE SA RAISON !

     Ce jour, suite à la procédure d’appel, il a été confirmé, la peine de 18 mois à Jirayr Séfilian pour avoir gardé son pistolet automatique et de 24 mois à Vartan Malkhassian.

 La peine de Vahan Aroyan fut prolongée de six mois, faisant ainsi 24 mois ferme, afin de faire une différence entre la détention d’un pistolet, comme celui de Jirayr, et la détention d’un arsenal plus important.

 Les dernières paroles de Jirayr furent en direction de l’Assemblée toujours présente à chaque procès et toujours fidèle à l’honnêteté et à l’engagement de Jirayr Séfilian.

 Oui, Jirayr a toujours été honnête il a toujours été droit et respectueux des lois de sa Patrie. Comme beaucoup de Combattants de la Libération il a construit autour de son arme ce lien métaphysique, puisque dans l’esprit des combattants cet outil protecteur que peut être une arme a une signification symbolique d’une très haute portée, mais ce qui est encore plus profond, est qu’il existe une règle d’honneur chez les Combattants de la Libération, qui n’a pas été prise en compte dans le procès, « seul celui qui a donné l’arme à Jirayr peut avoir le droit de lui reprendre ».

        « Il en a été de même pour l’AKS-Y que je possédais »,  seul mon supérieur hiérarchique aurait pu me le demander, et encore. Si cette arme correspond à un véritable trophée de guerre pris entre les mains de l’ennemi, jamais personne n’aurait pu me le soustraire, cette arme à une dimension symbolique qui va au-delà d’une simple détention pénale. Nous sommes dans un cadre qui n’a plus rien à voir avec les lois figées et constantes d’une République, aussi légitime que soit une loi, la justice doit prendre en considération l’aspect spécifique d’un tel procès qui juge l’esprit combattant d’un Arménien, descendant direct d’un rescapé du Génocide.

Non seulement Jirayr Séfilian est un miraculé, mais encore après deux générations d'Arménien, rescapés du Génocide, le fils est toujours là pour défendre sa Terre Ancestrale.

          Il en va de l’Honneur de la Patrie, il en va de l’Honneur du Combattant, les autorités ont dépassé les limites de l’entendement, vouloir mettre Jirayr Séfilian au niveau d’un simple délinquant porteur d’une arme automatique, est une erreur fondamentale. Ne pas prendre en compte son engagement et ses états de services est un affront ouvert en direction de tous les Combattants de la Libération, nous allons ainsi, tout droit vers un bouleversement en profondeur, la résonance de cette parodie de justice aura un effet dévastateur.

         Les autorités pensent pouvoir régler des comptes de type « personnels » de cette façon, les autorités ont oublié qu’ils sont les représentants de l’État, et l’État n’est pas une structure existante pour régler des problèmes personnels, les structures de l’État existent pour préserver la sécurité de la Nation, construire son avenir et son indépendance. Nous nous éloignons un peu tous les jours de ces fondements et des valeurs qui font qu’aujourd’hui l’État d’Arménie a une existence, les autorités ont complètement oublié les fondements et les valeurs de la République, sur lesquels reposent l’État d’Arménie.

 Des milliers de Séfilian se sont sacrifiés pour que l’État d’Arménie devienne l’État de tous les Arméniens, est-ce le cas ?

 Des milliers de Séfilian ont tout donné pour que l’État d’Arménie construise un avenir pour tous les Arméniens, est-ce le cas ?

 Les millions de dollars qui sont ramassés, tous les jours, de part le monde, ont-ils changé d’une façon ou d’une autre, en seize ans d’indépendance, la situation catastrophique de l’Arménie ?

 Faut-il rappeler aux  autorités, ce que Hrant Dink disait aux Turcs, « la richesse des Arméniens ne se trouvait pas enfouis dans leurs églises ni dans leurs monastères, cette richesse elle était là devant vous en chaire et en os, et vous l’avez anéantis ».

 L’État d’Arménie s’est constitué sur le sacrifice de ses enfants, et Jirayr fait partie de ses enfants.

 Alors, vous n’avez encore, rien compris, où bien ....?!

Arménag Aprahamian

Membre du Conseil National Arménien

Le 14 septembre, 2007                                                          Affaires Intérieures

Le 19 août, 2007                                                                                                                                Affaires Intérieures

ENGUER JIRAYR SEFILIAN

Film

Le 17 août, 2007                                                                                                                                           Affaires Intérieures

COMPTE RENDU DE LA RÉUNION PUBLIQUE

 A L'HÔTEL CONGRESS DE EREVAN

PROPOSITION POUR ABROGER L'ARTICLE 301

·                                 Les défenseurs de Jirair Sefilyan et de Vardan Malkhasyan ont tenu une réunion publique, le 16 août et ont proposé un changement de la législation. Il y a quelques jours, Sefilyan et Malkhasyan ont été condamnés respectivement à 1.5 et 2 ans. Jirair Sefilyan a été condamné pour avoir garder illégalement des munitions, et Malkhasyan a été condamné pour des appels pour un coup d’état violent. Cependant, Sefilyan avait été également arrêté sur une charge identique. Vahan Aroyan a été également condamné à 18 mois pour détention  illégale d’arme.

Pendant la réunion publique à l'Hôtel Congress,  le 16 août, tous les combattants et les partisans de Sefilyan y ont participé, y compris les membres de l'initiative pour la défense des territoires libérés et les membres de l'organisation  Kura-Arax, aussi bien que des activistes politiques et des droits de l'homme, des avis sur le cas de Sefilyan et de Malkhasyan ont été exprimés. Les participants ont cru que tout est dû à la crainte du gouvernement. Les participants sont pleins d'espoir que la cour de l'appel ne condamnera pas les anciens azatamartiks sur une charge qui n'a pas été prouvée, sauvant de ce fait la réputation du système juridique.

Armen Aghayan a également déclaré que si en décembre 2006 et janvier et février 2007 quelques hommes politiques qui coopéraient étroitement avec Sefilyan avaient exprimé une position claire sur ce sujet, l’accusation aurait pu être écarté avant qu’il fasse l’objet d’une plainte auprès de la cour. "je veux dire que les références des forces armées selon lesquelles l'arme a trouvé avec Sefilyan était illégale est un mensonge effronté qui serait facile de prouver à la cour mais le mensonge est demeurée dans les documents officiels pendant des mois, les décisions sur l'arrestation ont été prises sur cette base, etc"..

Les organisateurs de la réunion ont préparé un rapport qui décrit l’étude, l'analyse et la décision de la cour. En outre, des témoignages légales, politiques et morales ont été données sur la participation des héros de la libération dans la guerre au Karabagh. Par conséquent, afin d'empêcher le gouvernement d'appliquer l'article notoire 301 du code du crime, les organisateurs de la réunion proposent de la définir comme inconstitutionnelle. C'est aussi l'article sous lequel Sefilyan et Malkhasyan ont été chargés et arrêtés, c.-à-d. réclamant un coup d’état violent.

Armen Aghayan indique que l'article, en fait, raccourcit la liberté d’expression et permet au gouvernement d'accuser n'importe quel opposant s'il y a une convenance politique. Par conséquent, ils proposent de définir l'article en tant qu'inconstitutionnel et rapporte cette décision à la cour constitutionnelle. Les auteurs de la réunion invitent la société civile et les forces politiques de les joindre. Si l'article n'est pas considéré en tant qu'inconstitutionnel et n'est pas abrogé, les initiateurs proposent d'indiquer au moins selon quels discours l'article est applicable pour empêcher l'application arbitraire de l'article.

En réponse à cette proposition le défenseur des droits de l’Homme Vardan Harutiunyan a noté que même si cet article n'existait pas, le gouvernement trouverait un autre article dans le code de crime pour s'appliquer contre l'opposition, parce que l’ arbitraire et l'illégalité est une réalité quotidienne en Arménie.

Le 10 août, 2007                                                                                                            Affaires Intérieures

QUELQUES ÉLÉMENTS SUR LA PROCÉDURE A L'ENCONTRE

DE JIRAYR SEFILIAN

(format pdf)

Le 7 mars, 2007                                                                                                                                Affaires Intérieures

LES REPONSES OFFICIELLES DE JIRAYR SEFILYAN

En arménien

Le 15 décembre, 2006                                                                                                                       Affaires Intérieures

APPEL EN FAVEUR DE LA LIBÉRATION DE JIRAYR DER SEFILYAN ET

DE VARDAN MALKHASYAN