Le vote du Parlement
français
et notre
participation citoyenne en France et en Europe
Appel pour soutenir
la ratification de la Loi Boyer au
Sénat
Non contente de nier la réalité de ce génocide,
l’État en cause justifie sa position jusque dans
l’enceinte de l’ONU (intervention de la
représentation turque au Mécanisme d’Expert sur les
droits des Peuples Autochtones, le 11 août 2009 à
Genève –
« La Turquie n'a pas de groupe à l'intérieur de ses
territoires qui relèvent de la portée des peuples
autochtones à laquelle la Déclaration des Nations
Unies sur les droits des peuples autochtones
s'applique. »)
rappelant, […]
qu'il ne peut y avoir de génocide contre un peuple
qui n'existe pas, effaçant ainsi le crime et son
objet, pour atteindre pleinement l'objectif
génocidaire : ce peuple ne doit plus exister... ce
peuple n'existe pas... ce peuple n'a jamais existé.
Le révisionnisme achève le crime ; il en constitue
la seconde phase en effaçant un groupe ethnique de
l'histoire de l'Humanité. (Extrait de la Proposition
de Loi du Sénat français, le 19 septembre 2005 et le
19 mai 2010: relative à l'incrimination pénale de la
contestation publique des crimes contre l'humanité)[…].
La nécessité de pénaliser le négationnisme et sa
résonnance doit faire l’objet d’une attention
particulière, l’outil juridique correspondant
aujourd’hui,
c’est à dire la Décision-cadre 2008/913/JAI du
Conseil de l’Europe du 28 novembre 2008 sur la lutte
contre certaines formes et manifestations de racisme
et de xénophobie au moyen du droit pénal et sa
transposition (Loi Boyer) au droit pénal français a
effectivement une importance juridique pour tous les
citoyens français concernant les génocides reconnus
par la loi française.
Le 23 janvier 2012, l'adoption de la Loi Boyer
par les Sénateurs sera la démonstration que :
« La France est et restera toujours unie et
indivisible pour la défense des Droits de l’Homme »
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