2009 թ,
Նոյեմբեր 24
Actualité
Un accord
arméno-turc sans conditions préalables
Le deuxième Congrès National des
Arméniens d'Arménie Occidentale qui se déroulait du samedi 21 au
dimanche 22 novembre 2009, dans les salons d'honneur du Collège
Mekhitarian Samuel Moorat à Sèvres a eu un vif succès et a remplit
plein d'espoir et de détermination tous les participants, nous y
reviendrons.
Mais un évènement s'est produit dans les
débuts du Congrès qui a attiré l'attention de tous. Relativement à
cet évènement non-anodin, l'équipe de WAN a voulu préciser les
choses.
Monsieur Arménag APRAHAMIAN,
membre du Conseil National Arménien, organisateur du deuxième
Congrès National des Arméniens d’Arménie Occidentale et responsable
du service de sécurité, n’a pas refusé l’entrée de journaliste turc
au sein du Congrès des Arméniens d’Arménie Occidentale.
Rappel des faits : Le
vendredi 20 en soirée, alors que Monsieur Aprahamian était dans le
train et arrivant sur Paris, il reçoit un coup de téléphone de la
part de Mme Audray se présentant comme secrétaire du CCAF, comme
quoi une agence de presse turque souhaiterai envoyer un journaliste
au deuxième Congrès National des Arméniens d’Arménie Occidentale.
Ainsi elle
donne les coordonnées de l’agence afin que Monsieur Arménag
Aprahamian prenne contact dans les meilleurs délais.
A son arrivé
sur Paris, Monsieur Aprahamian suite à une quantité de rendez-vous,
n’a pas eu le temps de prendre contact avec le service en question.
Le samedi
matin, vers 12h00, se présente en plein Congrès une personne qui
s’annonce comme journaliste d’un organe de presse turque souhaite
participer au Congrès pour y prendre des photos et filmer.
On signale
immédiatement la présence de cette personne à Monsieur Arménag
Aprahamian qui va à sa rencontre à l’entrée devant le service de
sécurité. La personne se présente en mentionnant l'organe pour
lequel elle travaille mais sans montrer sa carte de presse.
Monsieur Arménag
Aprahamian, lui précise que ce Congrès est exclusivement réservé aux
personnes ayant une invitation et que par ce fait il ne peut pas,
sans cette invitation, lui permettre de participer à ce Congrès.
La personne très
intéressée par ce qui se passe à l’intérieur de la réunion insiste
en demandant ce qu’elle peut faire pour y participer.
Monsieur Armenag
Aprahamian, demande si les autorités turques sont informées de sa
démarche, ainsi elle répond que oui, c'est pourquoi Monsieur
Aprahamian a répliqué que le seul moyen d’y participer maintenant
serait qu’elle puisse dans les meilleurs délais présenter un accord
ou une autorisation de l’Ambassade de Turquie.
La personne sort
immédiatement son portable et entreprend de téléphoner.
Monsieur Arménag
Aprahamian rappelle que le Conseil National Arménien est
représentatif de l’Arménie Occidentale et de son Etat nation et
qu’il demande à ce titre un document officiel de l’Ambassade de
Turquie autorisant et acceptant que le journaliste travaillant pour
un organe de presse turque puisse participer au Congrès National des
Arméniens d’Arménie Occidentale.
Monsieur
Arménag Aprahamian rappelle que la journaliste en question a promis
de ramener ce document dans les meilleurs délais ce qui n’a pas été
fait.
Monsieur Arménag
Aprahamian n’a pas refusé au journaliste d’une agence de presse
turque de participer au deuxième Congrès National des Arméniens
d’Arménie Occidentale, mais il a souhaité que la tournure de
l'évènement soit officielle pour le bien de tous.
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