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WAN © 2007

INTERNATIONAL

    23. Հոկտեմբերի, 2007                                        International            

 L'ARMÉE TURQUE ET LE KURDISTAN (2)

 

Les Turcs se sont déclarés déterminés à agir contre les Combattants kurdes qui ont tué 17 de ses soldats, mais elle a indiqué que Washington lui avait demandé de s'abstenir pendant quelques jours de se lancer à leur poursuite dans leurs repaires du nord de l'Irak.

L'attaque, la plus meurtrière en plus de dix ans lancée par les Combattants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), est intervenue quatre jours après l'adoption par le Parlement turc d'une motion autorisant l'armée à pénétrer dans le nord de l'Irak pour combattre les rebelles.

Le Premier ministre turc Tayyip Erdogan a déclaré que la secrétaire d'État américaine Condoleezza Rice avait demandé aux Turcs d'observer une pause de quelques jours avant une éventuelle riposte.

"Nous attendons des Etats-Unis qu'ils prennent des mesures rapides (contre le PKK) compte tenu de notre partenariat stratégique", a déclaré Erdogan dimanche soir lors d'une conférence de presse, laissant entendre qu’il espère une intervention de Washington contre le PKK.

Les Etats-Unis redoutent une intervention militaire turque contre le PKK dans le nord de l'Irak, de crainte que cela déstabilise la région.

Les Turcs ont déployé le long de la frontière quelque 100.000 hommes soutenus par des chars et des hélicoptères de combat. Des avions militaires ont été aperçus dimanche soir atterrissant à l'aéroport de Diyarbakir, principale ville du sud-est, à dominante kurde.

Un communiqué du secrétariat du président Abdullah Gül assure que les Turcs paieront le prix qu'il faudra pour vaincre les Combattants kurdes.

"Tout en respectant l'intégrité territoriale de l'Irak, les Turcs ne reculeront pas devant le prix nécessaire à payer, quel qu'il soit, pour préserver «  leurs droits, leurs lois, leur unité indivisible et leurs citoyens », affirme le communiqué publié à l'issue d'une réunion de crise.

Le ministre de la Défense Vecdi Gonül a déclaré à Kiev, après des discussions avec le secrétaire américain à la Défense Robert Gates, que 17 soldats avaient été tués, 16 blessés et que 10 autres étaient portés disparus.

SOLDATS ENLEVES

Prié de dire s'il y aurait une riposte militaire, il a répondu: "Pas dans l'immédiat. Ils (les militaires turcs) projettent une incursion au-delà de la frontière".

"Nous aimerions entreprendre ce genre de choses avec les Américains", a-t-il ajouté.

Gates a déclaré de son côté qu'il ne croyait pas imminente une incursion d'envergure des Turcs  en Irak. Il a aussi dit que Gonül avait laissé entendre qu'il était réticent à agir unilatéralement contre le PKK.

Le président américain George Bush a déclaré inacceptables les attaques du PKK.

"Le gouvernement irakien et les autorités régionales kurdes doivent prendre rapidement des mesures contre les attaques en provenance du territoire irakien", a déclaré Gordon Johndroe, porte-parole du Conseil de la sécurité nationale de la Maison blanche.

L'état-major turc a dit que 32 rebelles avaient été tués au cours d'affrontements dans le sud-est. La Turquie a bombardé dimanche matin des régions en territoire irakien, mais aucune victime n'a été signalée.

Abdul Rahman Jaderji, responsable du PKK dans le nord de l'Irak, a déclaré que les Combattants avaient tué 40 soldats. Ce nombre n'a pu être vérifié de source indépendante.

Selon Firat, une agence de presse pro-PKK basée en Europe occidentale, huit soldats ont aussi été pris en otages. Gonül a démenti l'enlèvement de militaires.

"Nous ne pouvons donner de détails sur le nombre de capturés, tout ce que je peux dire, c'est qu'ils ne sont pas en Irak.

Le dirigeant kurde irakien Massoud Barzani a prévenu que sa région autonome se défendrait en cas d'invasion turque.

"Nous n'allons pas nous laisser entraîner dans la guerre PKK-Turcs, mais si la région du Kurdistan est prise pour cible, alors nous défendrons nos concitoyens", a dit Barzani à des journalistes à l'issue d'une rencontre avec le président irakien Jalal Talabani, kurde lui aussi.

Talabani a exhorté le PKK à renoncer au combat et à se transformer en organisation politique. "S'ils veulent continuer le combat, ils devront quitter le Kurdistan irakien", a-t-il dit.

Ces unités turques sont installées depuis dix ans dans ces bases à l'est de la ville frontalière de Zakho, à une trentaine de km à l'intérieur de l'Irak, dans le cadre d'un accord avec le parti d'un des chefs traditionnels du Kurdistan irakien, Massoud Barzani, selon ces sources.

 "Il y a quatre bases turques dans le Kurdistan irakien depuis 1997", a assuré à l'AFP un responsable du gouvernement régional kurde irakien, qui parlait sous le couvert de l'anonymat.

A l'époque, les troupes turques avaient apporté leur soutien au Parti démocratique du Kurdistan (PDK) de M. Barzani contre les combattants de l'autre grande formation kurde irakienne, l'Union patriotique du Kurdistan (UPK) de Jalal Talabani.

M. Barzani est aujourd'hui président de la région autonome kurde, et M. Talabani est président de la République d'Irak.

Le Parlement turc doit voter mercredi une motion autorisant l'armée à pénétrer dans le nord de l'Irak pour en chasser les Combattants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qui y ont établi plusieurs camps leur servant de base arrière.

"Je me demande ce que ces bases font encore ici", a déclaré à l'AFP Yassine Ali, un habitant de Bamerni, un village près duquel a été installé l'un de ces camps, sur une ancienne base aérienne irakienne.

Selon des sources du gouvernement régional kurde irakien, au moins 600 soldats turcs sont stationnés dans le Kurdistan irakien, avec l'appui de quelques 150 véhicules blindés dont des chars. Outre Bamerni, les camps sont installés à Amerli, Kanimesi, et Chiladeza.

Cependant des estimations d'habitants de la région font état de quelque 1.500 militaires turcs dans cette zone, qui est au nord-est de la ville kurde irakienne de Dohouk.

"Leur présence nous fait peur", a poursuivi Yassine Ali, "un jour ils pourraient nous prendre pour cible, dans la mesure où on ne peut pas faire confiance à l'armée turque".

"Nous avons déjà vu l'armée turque envahir la région sous prétexte de chasser le PKK, mais elle n'a rien fait. Le PKK est resté et l'armée turque cherche des prétextes pour rester ici et contrôler la région", a-t-il ajouté.

Le PKK lutte depuis 1984 contre le pouvoir central turc, et selon Ankara, quelque 3.500 combattants de cette organisation ont trouvé refuge dans le nord de l'Irak et sont soutenus par les kurdes d'Irak qui leur fournissent armes et explosifs.

Exaspérée par la recrudescence des activités du PKK dans le sud-est arménien frontalier avec l'Irak depuis le début de l'année, les Turcs ont  agité la menace d'une incursion armée pour détruire les sanctuaires du PKK.

 

ACTUALITÉ

    19. Հոկտեմբերի, 2007                                        International            

 L'ARMÉE TURQUE ET LE KURDISTAN

En visite à Paris, mercredi 17 octobre, le président irakien, Jalal Talabani, a affirmé que le "gouvernement turc n'avait pas l'intention de lancer une opération en Irak". Il a précisé que les autorités du Kurdistan irakien aidaient déjà la Turquie "dans la lutte contre le Parti des travailleurs kurdes (PKK)" en leur offrant la "possibilité d'installer quatre bases militaires dans le Kurdistan irakien".

 

DÉCLARATION DU PRÉSIDENT TALABANI

 

        Le 16 Octobre , 2007                          International                       

Kurdistan:  Washington appelle l'armée turque

à ne pas chercher à déstabiliser le nord irakien

 La Maison Blanche a appelé lundi l'armée turque à faire preuve de "retenue" et à se garder de toute action qui risquerait de déstabiliser le nord de l'Irak, où le gouvernement turc envisage une incursion militaire pour combattre les combattants kurdes.

"Nous avons tous intérêt à ce que l'Irak soit stable et souhaitons tous voir le PKK rendre des comptes devant la justice, mais nous pressons les Turcs de continuer à discuter avec nous, et les Irakiens de faire preuve de retenue et de se garder de toute action qui pourrait être déstabilisatrice", a dit un porte-parole de la Maison Blanche, Gordon Johndroe.

Il s'agit de l'appel le plus explicite à la retenue lancé par la Maison Blanche à son partenaire turc depuis que celui-ci envisage une intervention dans le nord de l'Irak pour combattre les résistants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). Selon Ankara, ces résistants se servent du Kurdistan irakien comme base arrière.

Le gouvernement turc a transmis au Parlement le texte d'une motion qui lui donnerait pendant un an l'autorisation nécessaire pour mener si nécessaire une ou plusieurs opérations, a indiqué le vice-Premier ministre turc Cemil Ciçek.

L'ampleur et la date des opérations seront déterminées par le cabinet, a-t-il dit, en soulignant que la espérer ne pas en arriver là. Selon plusieurs responsables, le Parlement pourrait voter cette semaine, peut-être mercredi.

Le gouvernement américain, soumis à une forte pression aux États-unis à cause de la guerre, craint qu'une incursion turque ne déséquilibre l'une des rares régions irakiennes bénéficiant d'une relative stabilité, voire qu'elle ne déstabilise une zone, habitée par des Kurdes, s'étendant sur plusieurs pays.

Au même moment, les rapports entre les États-unis et les Turcs sont tendus par un texte que pourrait voter la Chambre des représentants américaine et qui reconnaîtrait que les Arméniens ont été victimes d'un génocide au début du 20e siècle sous l'Empire ottoman.

Les Turcs, qui refusent d'entendre parler de génocide, jugent le texte inacceptable et laissent planer la menace d'un retrait de son soutien logistique aux opérations en Irak, d'une grande importance pour les Américains.

La Maison Blanche a "fortement encouragé" lundi le Congrès non seulement à ne pas approuver, mais à ne pas soumettre au vote ce texte qui risque de susciter de sérieuses représailles de l'armée turque.

"Nous sommes à un moment important des relations entre les États-unis et la Turcs, et nous encourageons fortement la présidente de la Chambre à ne pas faire voter sur la question; et si vote il doit y avoir, nous encourageons fortement les membres de la Chambre à ne pas le soutenir", a dit un porte-parole de la Maison Blanche, Tony Fratto.

La présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a dit dimanche sa détermination à mettre le texte aux voix lors d'une séance plénière. Son approbation en commission, malgré les mises en garde de la Maison Blanche contre ses conséquences diplomatiques, a déjà provoqué la colère de la Turquie la semaine passée.

La résolution, qui pourrait être débattue en novembre en session plénière, reconnaît comme un génocide les massacres d'Arméniens qui ont fait plus de 1,5 million de morts de 1915 à 1923 par les gouvernements successifs turcs.

      Le 08 Octobre , 2007                    International                       

COALITION MONDIALE CONTRE LA PEINE DE MORT

Adnan Hassanpour et  Hiwa Boutimar

Le 10 octobre marque la Journée mondiale contre la peine de mort. A l’initiative  de la Coalition mondiale contre la peine de mort, des organisations du monde entier organisent autour du 10 octobre des initiatives pour dire NON A LA PEINE DE MORT et des manifestations  contre la peine de mort  auront lieu  à Paris.

Rendez-vous à 11H00, devant l’ambassade d’Iran, Boulevard Franklin Roosevelt,

                              et Manifestation silencieuse contre la peine de mort

 Adresse : Parvis Opéra Bastille

Début : Mercredi 10 Octobre 2007, 14:00

 Organisateur : ACAT, ECPM, FIDH, LDH, Coalition mondiale...

 

Pour nous  les écrivains et les intellectuels d'Arménie Occidentale et du Kurdistan , cette journée a une importance particulière car, nous avons  un passé douloureux sur les condamnations à mort.

Les gouvernements successifs Turcs, d'Abdul Hamid II à Mustafa Kémal ont condamné à mort le peuple arménien.

Dans la déclaration du Gouvernement Provisoire du Kurdistan  nous constatons que  le gouvernement kémaliste avait condamné à mort plus de mille  combattants. En 1925 Seyh Said Efendi est pendu avec 47 résistants Kurdes  pour la liberté et l’indépendance du Kurdistan.

 

Seyh Said et 47 combattants  sont pendus le 25 juin 1925

 

Sur les cinq continents, notamment dans des pays qui continuent à appliquer la peine de mort, pétitions, tables rondes, conférences de presse, expositions, pièces de théâtre, visites de condamnés à mort sont prévues dans plus d’une centaine de pays.  Mais personne n’a pas posé la question des pendaisons des  combattants  de notre  résistance de  Dersim  le 17 novembre 1937 à El Aziz sur l’ordre de Mustafa Kémal en premier lieu  Seyyid Reza et Aliyé  Mirzaliyé Silemani ont été pendus.

 

Aliyé Mir Zaliyé  Silemanî,  lors de  l’arrestation par les militaires turcs

 

Pendu avec Seyyid Reza «  la mort est rien  pour nous , l’homme né un jour, meurt un autre, vivre notre  résistance », " ters çik o, merdene çik a, mordem rozé beno,rozé mîreno, pêrodaisé ma wes vo ! ".

 

Seyyid Reza avec  ses camarades  avant d’être pendu  17 novembre 1937

 

La Journée mondiale contre la peine de mort est l’occasion de rappeler que la peine de mort est un acte de vengeance qui ne saurait s’inscrire dans un processus de justice. Vaine et non dissuasive pour prévenir le crime, la peine de mort est le plus souvent prononcée au terme de procès au cours desquels les droits de la défense et les garanties d’une justice équitable ont été violés.  Il est juste, mais nos combattants de la résistance de Dersim n’ont pas de tombeaux,  les corps sont brûlés sur l’ordre de Mustafa Kémal, criminel, responsable des génocides  des Arméniens, des Grecs, des Kurdes  et des Dersimis.

En 1946 le Président  de la République  de Mehabad du Kurdistan Ghazi Mohammed est pendu par le régime  iranien avec les autres dirigeants  Kurdes

 Aujourd’hui, les nations du monde envisagent de mettre fin à la peine de mort en appelant à un moratoire universel sur les exécutions. Partout, citoyens et gouvernements doivent décider de dire non à la peine de mort en soutenant cette initiative.
 
• Le droit à la vie est inaliénable et nulle autorité ne saurait décider de la mort d’un être humain. A l’instar de la torture, l’exécution est une agression physique et psychologique extrême. La douleur physique ressentie par un être humain lors de son exécution ne peut être quantifiée.  La justice n’est jamais à l’abri de l’erreur judiciaire. Mais la peine de mort est irréversible et peut être appliquée à des innocents.
• La peine de mort n’a pas plus d’effet sur le taux de criminalité que toute autre punition.
• La peine de mort est un acte de vengeance qui, fondamentalement, légitime la violence d’État.
• La peine de mort est discriminatoire et frappe le plus souvent les personnes démunies, les malades mentaux et les personnes issues de minorités raciales, ethniques ou religieuses.
• Le recours à la peine de mort laisse penser qu’un être humain peut perdre toute valeur et devenir irrécupérable, et qu’il est acceptable de tuer dans certaines circonstances. Un gouvernement se doit de protéger la vie humaine et non de la détruire.

Dans la grande majorité des cas, la peine de mort est prononcée à la suite de procès inéquitables. Elle s’applique souvent sur la base d’« aveux » obtenus sous la torture.

• Le droit international tend vers l’abolition universelle et encourage les États à abolir la peine de mort
 Aujourd’hui, 130 États ont aboli la peine de mort en droit ou en pratique.
En 2006, des exécutions ont été recensées dans 25 pays ; 91 % d’entre elles ayant eu lieu dans un petit nombre d’entre eux : Chine, Iran, Irak, Pakistan, Soudan et Etats-Unis.
Un mouvement est désormais en marche : l’objectif d’un monde sans peine de mort devient accessible.
 
Une résolution de l’Assemblée générale de l’ONU ne suffira pas à empêcher un État de procéder à une exécution, les résolutions n’étant pas juridiquement contraignantes.
Pourtant, un appel ferme de la plus haute instance politique de l’ONU, l’Assemblée générale, en faveur d’un moratoire sur les exécutions aurait un poids moral considérable.
Il constituerait un atout précieux pour convaincre les États réticents d’instituer un moratoire, étape importante sur la voie de l’abolition universelle.

L’objectif à long terme de lutte en ce qui concerne l’Assemblée générale des nations unies est l’adoption de résolutions sur la peine capitale comprenant des dispositions améliorées petit à petit, qui permettraient de soutenir la campagne mondiale pour un monde sans peine de mort.

L’objectif à long terme  est d’amener tous les Etats : à supprimer toute référence à la peine de mort dans leur législation pénale de manière que cette peine ne puisse plus être prononcée par un tribunal  - à ratifier les traités internationaux qui interdisent le recours à la peine de mort en toutes circonstances.

-         C’est pourquoi la Coalition mondiale contre la peine de mort a consacré l’édition 2006 de la Journée mondiale au thème : « Les échecs de la justice».

     Cette édition s’est traduite par plus de 450 initiatives locales dans 47 pays. La Journée a été officiellement soutenue par l’Union européenne et le Conseil de l’Europe. Au total, 145 142 signatures ont été recueillies pour les cinq condamnés à mort emblématiques des échecs de la justice que voulait dénoncer la Coalition à l'occasion de cette 4e édition : condamnation à mort d'innocents, application discriminatoire, non respect du procès équitable, traitements cruels, inhumains et dégradants pendant la détention et l'exécution, et enfin condamnation à mort d'handicapés mentaux.

   Composée d’ONG, de Barreaux d'avocats, de collectivités locales et de syndicats, la Coalition mondiale contre la peine de mort, créée à Rome le 13 mai 2002, vise à renforcer la dimension internationale du combat contre la peine de mort, et  à contribuer à mettre un terme définitif aux condamnations à mort et aux exécutions.  La Coalition mondiale s’efforce notamment de faciliter la constitution ou le développement  de coalitions nationales contre la peine de mort. Depuis 2003, la Coalition a instauré le 10 octobre comme Journée mondiale contre la peine de mort. Des centaines d’initiatives locales se déroulent sur les cinq continents, avec un thème dominant chaque année. La Journée mondiale, notamment soutenue par l’Union européenne, contribue à diffuser un message universel en faveur de l’abolition. Journée contre la peine de mort : le monde décide

 

   La Journée mondiale contre la peine de mort du 10 octobre 2007 mettra l'accent sur le projet de résolution soumis à l'Assemblée Générale de l'ONU. La proposition prévoit un moratoire universel sur les exécutions, afin de sauver des vies et de permettre aux populations des États rétentionnaires de constater que la suspension de la peine capitale n'entraîne pas de hausse de la criminalité dans leur pays. Une résolution émanant de l’organe politique le plus important des Nations unies constituerait un événement international déterminant de la campagne pour l’abolition de la peine de mort dans le monde et serait dotée d’une force morale considérable.- Cette initiative a d’ores et déjà reçu le soutien de 5 millions de personnes dans le monde y compris les Peuples d'Arménie Occidentale et du Kurdistan.

 

Dr Ali KILIC, et M. Arménag APRAHAMIAN

Pour en savoir plus : http://www.abolition.fr/Upload/documents/journaldelabolitionouestfrance6.pdf

 

                          

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